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L'être-au-monde comme souci - Martin Heidegger révèle ceci : « Seule la clarification de l'essence de l'existence humaine révèle l'essence de l'être. Heidegger décrit l'existence humaine comme un « souci ». qui est une synthèse de 3 aspects : « être-au-monde », « regarder vers l'avenir » et « être-avec-au-monde-exister ». Les personnes concernées, peuvent-elles prendre soin d'elles-mêmes ? Le sujet comprend-il ce qu'il fait ? Est-ce qu'il donne un sens à sa vie ? Le sujet est toujours préoccupé par sa vie, mais comment faire autrement ?... L'inquiétude ou la préoccupation indique une anxiété à laquelle le sujet s'efforce de faire face d'une manière ou d'une autre. De quoi s’inquiète-t-il ? De votre existence dans le monde, de votre vie dans le monde des gens, qui est finie. Le sujet sait que la mort existe. Il l'éprouve par la pensée, en acquérant la capacité de prendre soin de lui-même et de sa présence au monde, ou par le corps, capturé par la tragédie du chemin de la vie - comme une préoccupation. La souffrance dans l'esprit (mentale, consciente), la souffrance dans le corps - les deux ne peuvent être évitées... Mais qu’y a-t-il de plus ? Il faut garder à l’esprit que chaque personne a ses propres capacités et qu’elles varient. Quelqu’un peut faire quelque chose et quelqu’un ne peut pas faire quelque chose. Le sujet a sa propre limite, son propre manque, son insuffisance ou son vide. Comment survivre avec ça ? - c'est la préoccupation. Un sujet préoccupé invente son propre symptôme, se découvre dans le monde, acquiert sa propre structure (psychotique ou névrotique) - grâce à laquelle il survit. Une invention psychotique ou névrotique n’est qu’une stratégie de réflexion. (Et à cet égard, un psychotique n’est pas pire qu’un névrosé, car on croit généralement que l’un est plus fou que l’autre). Personne ne pourra éviter ces « inventions ». Cependant, le souci est l’absorption du sujet par l’anxiété. Dans une structure névrotique, cette angoisse est refoulée et n'est pas détectée par le sujet lui-même, mais la stratégie du salut de l'autre s'ensuit simplement (pour le bien de l'autre, plus facile que pour soi). Avec l'hystérie, elle agit avec un autre - directement dans le comportement, où elle est visible pour les autres, mais impossible à remarquer par le sujet lui-même. Soit le sujet développe une confiance et une conviction dans la nécessité de changer le (mauvais) monde, soit (dans l'obsession) - le salut du monde. Plus l'échelle d'anxiété est élevée, plus les tactiques névrotiques et psychotiques sont entrelacées (certaines sont une structure, d'autres sont une défense psychique). Un sujet capable de réfléchir (méditer/philosophiser) sur sa vie et sa place dans ce monde trouve. lui-même préoccupé. Il développe progressivement la position d'observateur, ce qui l'aide à voir ce qu'il fait, comment et pourquoi - et comprendre ce qui se passe l'aide à surmonter sa structure, à sortir du pouvoir de son symptôme et à prendre soin de lui-même. pour détecter votre souci ? Répondez à des questions simples : qu'est-ce que je fais, pourquoi je le fais, comment je le fais - de préférence en présence d'un spécialiste (psychothérapeute), car un sujet préoccupé, tellement pris dans sa logique qu'il a du mal à découvrir par lui-même ses contradictions. Passer de la préoccupation au soin de soi n'est pas un chemin facile, mais ne manquez pas cette opportunité... Votre psychothérapeute personnel PS. psychologues et psychothérapeutes de différentes directions à des conditions préférentielles.

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