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Le premier numéro du Journal of Narrative Practice avec mon article a été publié. Dans cet article, j'ai essayé de considérer la pratique narrative du point de vue des besoins de la génération Z. La caractéristique clé de cette génération est un fort passage du matériel au domaine de l'idéal, du virtuel. En janvier, lorsque j’ai écrit l’article, je ne pouvais même pas imaginer que la virtualisation couvrirait tout le monde de cette manière. Quelque chose qui semblait d’une importance cruciale pour ce groupe social. Aujourd'hui, cela concerne tout le monde. Le passage à la virtualité pour un individu comporte ses propres risques. Il est possible d’atténuer ces risques en accordant consciemment une profonde attention au côté matériel et physique de votre être. Cela concerne avant tout les besoins du corps, l'expérience des émotions qui « vivent » dans le corps, les rythmes naturels, etc. Pourquoi en est-il ainsi ? Justification : En raison du passage du matériel au domaine de l'idéal, de l'abstrait, le cycle de feedback est rompu. Nous savons que la nature a établi un algorithme séquentiel de fonctionnement : sensations - réaction émotionnelle - décision - action - compréhension du résultat. Avec la « virtualisation », les sensations ne sont pas à la frontière du contact avec le monde mais sont le point de départ d'une réponse émotionnelle-vivante, d'un choix d'action et de comportement. Et les idées, les mots dictent les décisions et les actions. La conséquence d’une violation des milieux naturels est une violation du contact avec soi-même, avec ses sentiments. Beaucoup d'idées sur ce que je veux vivre et d'émotions sur mes pensées... provoquent de la confusion et une perte d'orientation par rapport à mes véritables besoins. Jouer avec des images virtuelles procure du plaisir aux exercices intellectuels. Et les névroses. Les rythmes du monde (jour et nuit, changement de saisons, etc.), les rythmes de notre cœur et de notre respiration, du sommeil et de l'éveil, du processus digestif... sont des rythmes de renouveau. C'est la sagesse de la nature, l'intelligence de nos corps, de nos organismes, qui équilibre automatiquement les processus de destruction. Attention! Il n’y a pas de renouvellement automatique de nos processus mentaux. Aussi variées que soient les pensées, elles ont tendance à former une histoire. Avec une boucle de rétroaction rompue, l’essence de cette histoire peut se résumer à un conflit interne et externe. Les détails peuvent changer, mais pas le scénario principal. La psychologie pratique répond à ce défi avec une variété d’approches axées sur le corps. Puisque le corps physique est équipé d’un merveilleux système de renouvellement rythmique, nous pouvons associer nos pensées et nos sentiments aux processus de renouvellement du corps. Cela se justifie par le fait que tout se passe et se vit dans le corps. Pour un tel co-réglage holistique du corps, un contact direct avec le corps, les sensations et les sentiments est nécessaire. Pouvoir vivre, entendre les histoires du corps La neuropsychologie dit que l'aspect somatique de notre existence (et non les mots et les modèles mentaux) sont la base du maintien de la santé physique et mentale. Et aussi pour la thérapie, c'est-à-dire la restauration durable des processus naturels de renouvellement et de développement. Cela peut se faire, comme le montre la pratique, au cours d'une courte série de séances en ligne. Viens.

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